Charte déontologique de Divas Magazine
Partie 1 : Principes généraux
Divas Magazine est un site édité par HPLM
Divas Magazine veille à travers le travail de ses journalistes, de délivrer une information de qualité, équilibrée, vérifiée et digne de confiance à ses lecteurs.
Ainsi qu’au respect des chartes qui régissent la profession de journaliste, suivantes :
Charte des devoirs professionnels, 1918
Charte de Munich, 1971
Appel de la Colline, 2008
Charte mondiale d’éthique des journalistes, 2019
1) Objet de la charte
La présente charte a pour objectif de préciser les engagements, devoirs et principes qui régissent le fonctionnement de HPLM.
HPLM juge ces conditions indispensables à son bon fonctionnement.
HPLM a souhaité les partager à ses lecteurs pour engager un dialogue à leur endroit et s’assurer de leur confiance.
2) Adhésion au Spiil (Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne)
HPLM est membre du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil). À ce titre, HPLM a accepté de se conformer à une série de règles basée sur le Guide des bonnes pratiques des membres du Spiil qui est librement accessible sur le site du syndicat. Elle vient compléter la Charte de Munich sur les droits et devoirs des journalistes.
3) Indépendance de l’entreprise
HPLM se définit comme une entreprise de presse indépendante. Elle défend donc ses intérêts propres et n’est pas au service d’intérêts commerciaux ou d’influence tiers.
Partie 2 : Éditorial
1) Renouvellement
Le contenu éditorial de Divas Magazine fait l’objet d’un renouvellement régulier et non pas seulement de mises à jour ponctuelles et partielles. Tout renouvellement est daté.
2) Frais et cadeaux
Sauf circonstances particulières, Divas Magazine prend en charge l’ensemble des frais liés à l’activité professionnelle des journalistes qu’il emploie : déplacements, hébergement, restauration, etc.
Il s’assure que ces derniers n’acceptent pas de cadeaux ou d’avantages divers, directement ou indirectement, dans le cadre de leur activité ou, plus généralement, dans des circonstances susceptibles d’avoir clairement une incidence sur leur travail. En aucun cas, ils ne doivent présenter sous la forme rédactionnelle l’éloge d’un produit, d’une entreprise, à la vente ou à la réussite desquels il est matériellement intéressé.
Ces circonstances particulières sont définies par la personne en charge de l’équipe rédactionnelle, et chaque membre de l’équipe doit, en la matière, se référer à cette personne.
Les obligations éditoriales de Divas Magazine ne s’opposent pas à l’acceptation des billets gratuits, ni à la prise en charge éventuelle du voyage et de l’hébergement, pour les journalistes amenés à couvrir des événements, des conférences ou des représentations artistiques.
Mais si tel est le cas, une mention est affichée au sein de l’article afin de préciser que la rédaction n’a pas pris en charge seule les frais liés à la publication de l’article en question.
3) Séparation des activités commerciales et éditoriales
Les activités commerciales et éditoriales sont séparées. Ainsi, les personnes en charge de la commercialisation des espaces publicitaires n’ont pas, dans le même temps, des responsabilités éditoriales ou un lien hiérarchique direct avec des membres de la rédaction, sous quelque forme que ce soit.
Partie 3 : Transparence économique
1) Actionnariat
Les mentions légales sont clairement affichées et disponibles sur l’ensemble du site édité par HPLM. Elles comprennent notamment le nom du directeur de publication, le statut juridique de la société et les noms des principaux actionnaires, qui détiennent plus de 10 % du capital.
2) Publication des comptes annuels
HPLM publie chaque année ses comptes simplifiés, et les porte également à la connaissance de ses lecteurs en détaillant les grandes lignes de son modèle économique.
Partie 4 : Publicité
1) Maîtrise des contenus publicitaires
HPLM refuse toute insertion publicitaire qui serait contraire à son éthique ou à sa ligne éditoriale.
2) Transparence du caractère promotionnel de certains contenus
Tout article financé ou qui répond à un cahier des charges proposé par un annonceur doit être clairement identifié comme tel, conformément à l’article 20 de la loi du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique et à l’article 10 de la loi n° 86-897 du 1 août 1986 portant réforme du régime juridique de la presse.
Il doit ainsi respecter les règles suivantes :
• L’article (ou tout autre type de contenu) est encadré et sur-titré « Publicité» ou « Publi-reportage » de manière lisible. Il est réalisé sous une forme clairement différente de celle du journal (maquette, typo, colonage, sans logo du service de presse à l’intérieur du publi-rédactionnel).
• L’article (ou autre type de contenu) est rédigé par des personnels extérieurs à l’équipe rédactionnelle et ne peut être signé par la rédaction ou l’un de ses membres.
• Dans le cadre de leurs activités, ces derniers doivent clairement se présenter comme des personnels extérieurs à la rédaction de l’entreprise de presse.
• Le site comporte une page dans laquelle les conditions pratiques et déontologiques de mise en œuvre de ces contenus est détaillée.
3) Multiplicité des formats
HPLM informe ses lecteurs qu’il accorde une attention particulière à ce que les espaces publicitaires n’occupent pas une majorité de ses pages lors d’une navigation sur les différents types d’écrans ; de même, qu’il fait en sorte de ne pas multiplier les formats à outrance pour distribuer ses contenus dans des conditions de lecture optimale.
4) Formats audio et vidéo
HPLM informe ses lecteurs qu’il ne propose des formats publicitaires dans lesquels la lecture ne démarre que sur son action claire de sa part (un clic) et non pas, sur un simple survol de la souris. Pour garantir à ses lecteurs la meilleure navigation, HPLM refuse des formats avec une lecture automatique des vidéos (avec ou sans son).
5) Formats intrusifs
HPLM informe ses lecteurs qu’il ne met pas en oeuvre des formats publicitaires qui gênent la lecture de ses contenus et interrompent leur navigation. Le visiteur de Rapporteuses peut à tout moment fermer ces espaces publicitaires à travers une croix positionnée toujours au même endroit, et facilement accessible via une interface tactile ou un clic de souris selon les cas.
6) Technologie Flash
Dans la plupart des cas, Divas ne met pas en oeuvre des formats publicitaires qui utilisent la technologie Flash. Quand ces formats sont en ligne sur le site, Divas Magazine propose une alternative.
7) Publicité programmatique
Divas Magazine assume la responsabilité de ce qui est diffusé sur son site. Il veille à ce que ses lecteurs ne soient pas exposés à des scripts malveillants ou à une multitude de traceurs au travers d’espaces de publicité programmatique.
Divas Magazine partage cette responsabilité avec l’ensemble de ces prestataires et ne travaille qu’avec ceux qui respectent ces mêmes règles et dont les pratiques ne vont pas à l’encontre de ses engagements ou de l’intérêt de ses lecteurs.
8) Bloqueurs de publicité
Divas Magazine souhaite engager le dialogue avec ses lecteurs, au premier rang desquels ceux qui utilisent des bloqueurs de publicité, victimes de mauvaises pratiques publicitaires. Divas a un modèle économique qui repose sur la publicité. Les revenus tirés de ce modèle permettent à HPLM d’assurer son indépendance.
Les engagements ci-dessus visent à assurer une bonne expérience et un confort de lecture à l’ensemble de nos visiteurs, nous vous demandons donc de bien vouloir mettre notre site sur liste blanche afin de nous permettre de continuer d’assurer le fonctionnement de notre site et le financement de notre équipe et de notre rédaction.
Partie 5 : Données personnelles
1) Cookies, traceurs
Divas Magazine suit les recommandations de la CNIL en matière de récolte des données, de traceurs et de cookies.
Vous retrouverez nos engagements en matière de respect de la vie privée et du traitement des données à l’adresse suivante : politique de confidentialité. Divas a mis en place une page qui référence les outils qui vous permettent de vous opposer à la collecte de vos données par son site ou par ses différents prestataires.
2) Distribution sécurisée
Divas Magazine propose à ses visiteurs un accès à son site et aux dispositifs de connexion sécurisés (HTTPS). Il en est de même pour la diffusion de la publicité, tant pour le service de presse en ligne que pour ses prestataires techniques.
3) Gestion des lettres d’information
Divas Magazine propose à ses lecteurs de gérer leur inscription à l’ensemble des lettres d’information envoyées par Divas depuis une page unique.
4) Facilité de désabonnement
Divas Magazine informe ses lecteurs qu’ils peuvent à tout moment se désabonner. Vous pouvez écrire à cette adresse : divasmagazine3@gmail.com. La demande de désabonnement sera traitée dans les meilleurs délais.
Partie 6 : Relation avec les journalistes et collaborateurs
Divas Magazine entend promouvoir une information d’intérêt public, portant des valeurs humanistes, démocratiques et sociales, au service du bien commun, de l’égalité des droits, du rejet des discriminations et du refus des injustices.
A cet effet, Divas Magazine s’engage à préserver ses collaborateurs et les journalistes de toute pression émanant de partenaires économiques, de pouvoirs publics, d’organisations politiques, syndicales ou religieuses.
Une fois les articles publiés sur le site, toute correction ou modification significative doit être signalée via la messagerie.
Toute opinion peut s’y exprimer, y compris en désaccord avec la ligne éditoriale du site. Dans les commentaires des articles, Divas Magazine sera vigilant sur les propos racistes, antisémites, sexistes, homophobes, validistes ou d’autres formes de haines sociales.
La liberté d’opinion des journalistes de Divas Magazine est totale. L’expression publique de cette opinion ne doit pas porter atteinte aux intérêts de l’entreprise, conformément à la convention collective des journalistes.
Chaque journaliste de Divas Magazine est libre de participer à des réunions publiques organisées par des associations, des collectifs et des institutions, à l’occasion de rassemblements et de manifestations et de signer des pétitions, à condition que ce soit en son nom propre, et non pas en sa qualité de journaliste à Divas Magazine.
Les journalistes et collaborateurs sont libres de s’exprimer comme ils l’entendent sur les réseaux sociaux, dans le respect de la liberté d’expression (article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), et en s’interdisant d’une part la diffamation et l’injure ; d’autre part les propos appelant à la haine (apologie de crimes contre l’humanité, propos racistes, antisémites, sexistes, homophobes, validistes et témoignant d’autres formes de haines sociales).
Les Journalistes et collaborateurs doivent cependant s’exprimer en gardant à l’esprit qu’elles et ils travaillent au sein d’un collectif et que partager publiquement une opinion personnelle peut avoir des conséquences sur l’image de l’entreprise.