Succès, échecs, ambitions, après trois ans à la tête de Birimian Ventures,...
Laureen Kouassi-Olsson se confie sur son expérience de chef d’entreprise.
Pourquoi avoir quitté le confort d’un travail bien rémunéré pour vous lancer dans l’entrepreneuriat ?
Laureen Kouassi-Olsson. - Birimian était au fond de moi depuis longtemps et ce désir de soutenir la création africaine a mûri progressivement. Avec le recul, c'est vrai que je ne me rendais pas compte de ce qui m’attendait. C'était vraiment une pure folie, parce qu’effectivement j'avais un cadre hyperstructuré, un poste confortable chez Amethis (NDRL, fonds d’investissement axé sur l’Afrique), des revenus garantis mais j’étais arrivée à un stade où tout était construit, tout était sur des rails. J’avais l’impression de ne plus avoir autant d’impact or, pour moi c’est fondamental, c’est mon moteur. La Covid-19 est passée par là et alors qu’on était tous enfermés, j’ai commencé à me poser des questions essentielles sur la vie, en me dem...
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