Lors de sa visite à Paris le 10 novembre dernier, S.E. Madame Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine de la République Démocratique du Congo, a réalisé plusieurs actions significatives en collaboration avec l’UNESCO et ses homologues, traitant de divers sujets d’actualité. En plus de ses engagements officiels, elle a accordé des interviews et animé des conférences de presse pour les médias français, chinois et arabes.

Examinons les moments forts de son court séjour à Paris, en mettant l’accent sur ses différentes initiatives auprès de l’UNESCO.

Monsieur Lazare Eloundou Assomo, Directeur du Patrimoine mondial de l’UNESCO, et Madame Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine de la République Démocratique du Congo

La Convention du Patrimoine entre la République Démocratique du Congo et l’UNESCO

La Convention du Patrimoine entre la République démocratique du Congo et l’UNESCO est un sujet d’une grande importance qui concerne la préservation et la valorisation du patrimoine culturel et naturel de la RDC. Il est essentiel de mentionner les sites du patrimoine mondial en RDC, tels que le Parc national de Virunga ou le site de Kisangani, et l’importance de les préserver et de les promouvoir pour les générations futures.

La reconnaissance de la Rumba congolaise

La reconnaissance de la Rumba congolaise par la Ministre de la Culture de la République démocratique du Congo et par l’UNESCO constitue un événement d’une grande importance pour la promotion et la préservation de ce genre musical emblématique. La Rumba congolaise, également connue sous le nom de Soukous, possède une histoire riche et a joué un rôle majeur dans la culture congolaise et africaine.

Monsieur Lazare Eloundou Assomo, Directeur du Patrimoine mondial de l’UNESCO, et Madame Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine de la République Démocratique du Congo, ont tenu des discussions approfondies concernant les conventions de la RDC de 1954, 1970, 2001 et 2005. Ils ont également évoqué des actions concrètes visant à accompagner la RDC dans l’inscription de sites sur la liste représentative de l’UNESCO. Une attention particulière a été accordée aux projets visant à renforcer les capacités liées au patrimoine aquatique. Ils ont également soulevé des questions relatives aux industries culturelles créatives, notamment dans le domaine de la rumba et d’autres milieux artistiques.

Les artistes de la RDC

Les talents et la promotion des actions en faveur des nombreux artistes congolais, ainsi que la protection de leurs œuvres, occupent une place centrale dans les efforts déployés par Son Excellence Madame Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine. La scène artistique de la République démocratique du Congo est dynamique et regorge de talents dans divers domaines tels que la musique, la danse, le cinéma, la littérature, les arts visuels, et bien d’autres. La Ministre Catherine Kathungu Furaha met en avant l’importance de mettre en lumière ces artistes congolais et de discuter des mesures entreprises pour les soutenir, les promouvoir et protéger leurs créations artistiques. Elle souligne également l’impact positif de la créativité et de l’expression artistique sur la société congolaise dans son ensemble.

Valorisation et reconnaissance des opérateurs culturels : un impératif essentiel

Il est primordial de reconnaître et de soutenir les opérateurs culturels qui s’investissent en faveur des arts, du patrimoine et de la culture de la République démocratique du Congo dans toutes leurs formes et aspects fondamentaux. Leur travail en RDC, visant à promouvoir les arts, préserver le patrimoine et encourager la diversité culturelle, nécessite un engagement considérable et un travail acharné pour rassembler toutes les informations nécessaires. Il est important de discuter des défis auxquels ils font face, notamment le manque de financement, tout en mettant en avant le rôle crucial qu’ils jouent dans la préservation et la transmission des traditions culturelles congolaises. Leurs actions contribuent au développement global de la RDC.

Une collaboration entre le Ministre des Emirats Arabes Unis, Monsieur Salem Bin Khalid Al Qassimi, et Madame Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine de la République Démocratique du Congo, a créé un lien de convergence dans les actions et l’inventaire des patrimoines touchés par les conflits.

Une invitation ouverte au monde : Découvrez la splendeur culturelle, artistique et culinaire du Congo-Kinshasa

Son Excellence Madame Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine de la République Démocratique du Congo, lance une invitation ouverte à travers le monde. Cette invitation vise à découvrir le Congo-Kinshasa dans toute sa splendeur culturelle, artistique et culinaire, ainsi que son évolution en tant que pays émergent. La RDC regorge d’une richesse culturelle variée, allant de la musique traditionnelle à la cuisine savoureuse en passant par des traditions vestimentaires uniques. La promotion du tourisme en mettant en valeur ces aspects culturels, artistiques et culinaires est une démarche passionnante. Il est également essentiel de souligner l’évolution du pays en tant que nation émergente et d’encourager les visiteurs du monde entier à découvrir la diversité et le potentiel exceptionnels de la RDC.

Lors de son passage sur les plateaux de la chaîne de télévision Mandarin TV à Paris, Madame Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine de la République Démocratique du Congo, a lancé une invitation au monde entier, s’adressant ainsi à une audience de 480 millions de spectateurs.

Reconnaissance de la Rumba congolaise

La reconnaissance de la Rumba congolaise par la Ministre de la Culture de la République démocratique du Congo et par l’UNESCO est un événement d’une grande importance pour la promotion et la préservation de ce genre musical emblématique. La Rumba congolaise, également connue sous le nom de Soukous, possède une histoire riche et a joué un rôle majeur dans la culture congolaise et africaine. En collaboration avec la RDC, l’UNESCO a mis en place des initiatives visant à protéger et à promouvoir la Rumba congolaise en tant que patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Ces efforts contribuent à valoriser cette forme musicale unique et à assurer sa transmission aux générations futures.

Le changement dans le monde artistique

L’avancée dans le monde artistique de la RDC grâce à la reconnaissance de la Rumba congolaise par l’UNESCO est une étape significative pour la préservation et la promotion de ce genre musical emblématique. Cette reconnaissance souligne l’importance de la Rumba congolaise. En tant qu’expression artistique et culturelle unique, ainsi que son influence sur la musique et la danse à travers le continent africain. Elle offre une visibilité internationale. Ce genre musical encourage la sauvegarde de ses traditions, de ses rythmes et de son héritage.

Cela contribue également à sensibiliser le public à la richesse et à la diversité de la culture congolaise. Tout en renforçant la fierté nationale et en favorisant les échanges culturels et artistiques. La Ministre de la Culture de la RDC démontre ainsi l’engagement du gouvernement congolais à valoriser et à préserver le patrimoine culturel du pays. Cette reconnaissance ouvre également des opportunités pour développer des projets de promotion, de recherche et d’éducation autour de la Rumba congolaise, tout en favorisant la coopération internationale dans le domaine de la musique et de la culture.

En résumé, la reconnaissance de la Rumba congolaise par l’UNESCO représente une avancée majeure dans le monde artistique de la RDC. Elle met en valeur l’importance culturelle de ce genre musical et offre des opportunités de développement et de collaboration tant au niveau national qu’international.

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